JINPA
Institut Benjamenta
On l'appelait Roda

Programmation 2020

Vendredi 07 février 2020 (14 h 30 & 20 h)

Vendredi 13 mars 2020 (14 h 30 & 20 h)

Vendredi 17 janvier 2020 (14h30 & 20 h)

Synopsis

 

Sur une route isolée traversant les vastes plaines arides du Tibet, un chauffeur de camion, qui a accidentellement écrasé un mouton, s’arrête prendre un jeune homme qui fait du stop. Pendant qu’il conduit et bavarde, le chauffeur de camion remarque que son nouvel ami a un poignard en argent attaché à sa jambe. Il en vient à comprendre que cet homme est prêt à tuer quelqu’un qui lui a fait du tort. En laissant l’autostoppeur à une bifurcation, le chauffeur du camion ne se rend pas compte que le peu de temps qu’ils ont passé ensemble a tout changé et que leurs destins sont inextricablement liés.

 

Film couronné au 25ème festival des cinémas d’Asie (FICA) de Vesoul (février 2019).

Cyclo d’Or offert par le Conseil Régional de Bourgogne-Franche-Comté à Jinpa de Pema Tseden (Tibet-Chine) « pour l’originalité de son style et de son langage cinématographique unique ».

 

Prix de la Critique attribué à Jinpa de Pema Teden (Tibet-Chine) « pour le talent avec lequel le film mélange les genres et les influences, du road movie à la science-fiction et de Wong Kar-Wai à Sergio Leone, dans un conte moderne aussi réjouissant que stimulant ».

 

Coup de cœur de l’ I.N.A.L.C.O. (Institut National des Langues et Civilisations Orientales) pour Jinpa de Pema Tseden (Tibet-Chine) « pour sa capacité à nous emmener dans un conte mystérieux, l’originalité, le style, la beauté audacieuse et l’humour qui nous font vivre un rêve aux imaginaires multiples. Un rêve devenu le nôtre ».

 

Trois récompenses lui ont été attribuées par les jurys, dont la plus prestigieuse, le Cyclo d’or. « C’est un film sur l’éveil. Une fois éveillés, nous pouvons choisir notre route vers l’avenir » explique le réalisateur. Ce conte moderne dans une région isolée du Tibet raconte avec humour une histoire de vengeance et de rédemption. Un long-métrage parfaitement maîtrisé.

Frédérique Schneider, La Croix

 

Jinpa raconte le parcours d’un chauffeur de camion qui croise brièvement la route d’un auto-stoppeur décidé à tuer un homme qui lui a causé du tort. Le film est une adaptation de deux nouvelles : L’Assassin de Tsering Norbu et J’ai écrasé un mouton de Pema Tseden. Le réalisateur et scénariste tibétain obtient son 2ème Cyclo d’Or après avoir été consacré une première fois en 2016 à Vesoul pour un autre long-métrage, Tharlo.

macommune.info (Vesoul Culture)

Première en France

JINPA, un conte Tibétain

drame de Pema TSEDEN

 film tibétain

 Sortie nationale : 19 février 2020

1h 26    V.O.S.T. 

En présence de Françoise ROBIN

de l’INALCO

spécialiste de la littérature et du cinéma tibétains

INSTITUT BENJAMENTA

 

drame de Timothy et Stephen QUAY

 

film britannique, N. & B., sortie 2000

 

Réédition numérique 2019: sortie le 4 décembre 2019

 

1h 45   V.O.S.T.   inédit à Troyes

  

Synopsis :

 

Institut Benjamenta mêle fantastique, mysticisme et conte de fée. L’institut, délabré et moribond, est une école de formation pour majordomes auxquels est perpétuellement enseignée la même et unique leçon. Jakob, qui vient de s’inscrire, erre parmi les couloirs labyrinthiques de l’institut, essayant de percer les mystères de la vie des occupants hagards de cet étrange établissement. La fratrie, Lisa et Herr Benjamenta sont les gérants de cette institution, alors que l’aîné dirige l’établissement d’une main de fer, sa cadette rêve d’évasion. L’arrivée de Jacok va bouleverser ce fragile équilibre.

 

La facture de cette féerie, teintée parfois d’érotisme, témoigne d’une esthétique résolument originale. Tout ici est bricolé, détaillé, orné avec un soin infini (...). Grâce aux frères Quay, on pourra désormais dire qu’on a traversé les limbes.

Jacques Morice, Télérama

 

Un film construit comme un vertige, visuellement prodigieux, mystique et érotique à la fois, qui interprète avec une grande intelligence ce roman de Robert Walser que Kafka aimait tant. Seul, sans doute, l’univers si singulier et inventif des frères Quay.

François-Guillaume Lorrain, Le Point

 

…une douce fantasmagorie, un cauchemar éthéré d’une grande perfection plastique, où les clairs-obscurs en noir et blanc recèlent des mystères insondables, où les humains ont un comportement aussi absurde que chez Kafka et Beckett.

Vincent Ostria, L’Humanité

 

Institut Benjamenta ne ressemble à rien de connu. […] Du haut de son petit tabouret baroque et branlant, le cinéma bricolé des frères Quay est en effet fondé à nous poser les plus vieilles, et les meilleures questions de cinéma. Celles qui concernent les forêts vierges de sa puissance expérimentale. Celles qui touchent à son dogme réaliste. Celles qui éjectent, aussi, le spectateur de sa place convenue.

Olivier Séguret, Libération

 

« Le film visuellement le plus beau, le plus envoûtant et le plus drôle que j’aie vu ces trois cents dernières années. Je suis jaloux ! »

Terry Gilliam, Réalisateur (ancien membre des Monty Python)

  

Synopsis :

 

À travers une série de discussions et d’entretiens filmés peu avant sa mort, ce documentaire brosse en filigrane le portrait d’Etienne Roda-Gil, immense parolier et inconnu du grand public. En quarante ans de carrière, il a écrit plus de 700 chansons parmi lesquelles Alexandrie, Alexandra ou Joe le Taxi.

  

Qu’ont en commun des artistes devenus mondialement connus, emportant la langue française sur des tempos et des rythmes allant du rock à la musique médiévale en passant par le mambo ou des mélodies entêtantes sur lesquelles nous dansons toujours ? Julien Clerc, Claude François, Pascal Obispo, Sophie Marceau, Johnny Hallyday, Juliette Gréco, Vanessa Paradis, Barbara, Mort Schuman, Julio Iglesias, France Gall, Angelo Branduardi, Alain Chamfort, Françoise Hardy, Christophe, Catherine Lara, Louis Bertignac… ou encore Roger Waters ! Qu’ont-ils donc en commun ?

Une plume qui écrivait pour chacun d’eux : celle d’Etienne Roda-Gil. Le documentaire rend hommage à la créativité de ce « poète industriel » comme il aimait à se nommer et à l’incroyable visionnaire et témoin de son temps grâce aux entretiens menés par Charlotte Silvera, brutalement interrompus par la disparition de Roda-Gil le 28 mai 2004. Mais d’autres ont pris le relais : compositeurs, interprètes et proches de Roda pour évoquer la place considérable qu’il a tenue dans la chanson française et le chemin lumineux qu’ils ont parcouru ensemble.

Allo Ciné

 

Avec On l’appelait Roda, Charlotte Silvera dépeint l’un des plus grands paroliers de la chanson française, posant sur lui un regard émerveillé. Roda-Gil est en effet fascinant dans la sobriété de son mode de vie et qui tranche avec la richesse de sa pensée : son regard aiguisé sur la société nous permet de cerner l’homme visionnaire à travers le parolier.

Valentin Ribas, CineChronicle


Son nom fait partie du panthéon de la chanson française. Mais la cinéaste a tenté dans un joli documentaire de montrer Etienne Roda-Gil tel qu’il était : un homme brut, passionné, enflammé, « qui n’avait pas de fond de tiroirs ». Ses interprètes les plus célèbres, de Julien Clerc à Vanessa Paradis, en parlent encore avec émotion. Il était le plus rockeur de nos paroliers. Et Charlotte Silvera le montre avec classe et dignité.

Benjamin Locoge, Paris match

  

On l’appelait RODA

de Charlotte SILVERA


documentaire français


2018    1h 37   inédit à Troyes


en présence de Charlotte SILVERA

réalisatrice du film

Programmation 2020

Vendredi 03 avril (14 h 30 & 20 h)

Vendredi 29 mai (14 h 30)

Vendredi 29 mai ( 20 h)

Samedi 30 mai (14 h)

Samedi 30 mai (17 h)

Samedi 30 mai (20 h 30)

Vendredi 26 juin (14 'h 30 & 20 h)



Synopsis

 

La belle Saltanat et son chevalier servant Kuandyk sont amis depuis l’enfance. Criblée de dettes, la famille de Saltanat l’envoie dans la grande ville où elle est promise à un riche mariage. Escortée par Kuandyk qui veille sur elle, Saltanat quitte son village pour l’inconnu. Les deux jeunes gens se trouvent entraînés malgré eux dans une suite d’événements cruels et tentent d’y résister de toutes les façons possibles.



Une histoire d’amour sur fond de crime où Yerzhanov juxtapose gravité et ironie, tout en offrant une dimension poétique et des images superbes.

Nathalie Dassa, Transfuge


Ce rappel à l’art, le film ne cesse de l’évoquer et de le mettre en scène. Par son titre, d’abord, emprunté à une phrase de L’Étranger, d’Albert Camus. Par les tableaux que le cinéaste utilise, ensuite, tout au long de l’histoire, à la manière des cartons du cinéma muet. Et par l’évocation, enfin, des auteurs dont se nourrit Sultanat (Shakespeare, Stendhal), dont les œuvres filtrent à divers endroits, comme dans le couple formé par Sultanat et Kuandyk, sortes de Roméo et Juliette pris au piège d’un monde corrompu.

Stéphan Vanfleteren, Le Monde


Un film de grande beauté. Comme chez Mizoguchi, la beauté formelle sert à montrer la beauté et la cruauté de ce qui est filmé. La composition des plans et le jeu des acteurs magnifient la confrontation entre un mafieux et une jeune femme chargée de sauver les siens.

Paul Fabreuil, Les Fiches du Cinéma


LA TENDRE INDIFFÉRENCE DU MONDE


Drame de Adikhan YERZHANOV

Film kazak-français

2018

1 h 39


V.O.S.T., inédit à Troyes

  

CLOSE-UP

 

Drame

de Abbas  KIAROSTAMI

31-10-1991, version restaurée 1er avril 2020

1h34, V.O.S.T., inédit à Troyes

Synopsis :

 

Cinéphile obsessionnel et sans emploi, Hossein Sabzian ne peut résister à la tentation de se faire passer pour le célèbre cinéaste Mohsen Makhmalbaf à qui il ressemble, afin de s’attirer les faveurs d’une famille iranienne bourgeoise. Une fois démasqué, cet homme est traîné devant la justice pour escroquerie. Apprenant ce fait divers, le réalisateur Abbas Kiarostami s’empresse de réunir une équipe de tournage afin de reconstituer les faits et de filmer son procès.


Cette histoire met en lumière l’attraction singulière du cinéma et de la poésie dans la société iranienne. Les promesses d’une carrière artistique semblent, à Téhéran, aussi envoûtantes qu’un destin de footballeur dans d’autres pays du monde.

Laurent Rigoulet, Télérama


Cinéma : vérité ou mensonge ? C’est peut-être l’un des enjeux les plus importants instaurés par la filmographie d’Abbas Kiarostami, avec ce passionnant Close Up. Film hybride - il emprunte à la forme documentaire mais reconstitue l’évènement par le biais d’artifices fictionnels - Close Up propose un vrai regard de cinéaste et une authentique réflexion sur le pouvoir et la reconnaissance.

Critique de spectateur

Ciné rencontre LE CINEMA IRANIEN En présence de Asal  BAGUERI

professeur à la Sorbonne, spécialiste du cinéma iranien

Synopsis :

 

Lorsque sa femme le quitte, Nader engage une aide-soignante pour s’occuper de son père malade. Il ignore alors que la jeune femme est enceinte et a accepté ce travail sans l’accord de son mari, un homme psychologiquement instable…


Ours d’or à Berlin, le film d’Asghar Farhadi peint avec sensibilité deux couples pris dans le carcan de la société iranienne.

Jean-Luc Douin, Le Monde


Pas de pathos inutile, pas d’effet superflu, pas de procédé malin. Mais toujours, dans le contenu comme dans la mise en scène, ce qu’il faut de réalisme, de vigueur et de sentiment pour faire vivre un drame poignant de bout en bout.

La rédaction, Ouest France


Une séparation est un film extrêmement physique, tendu, électrique, plongeant ses acteurs (tous extraordinaires d’intensité) et sa fiction dans le bain bouillonnant de la société iranienne réelle.

Serge Kaganski, Les Inrockuptibles


UNE SÉPARATION


Film dramatique 2011


De Asgar FARHADI


2 h 03, V.O.S.T., inédit à Troyes

Ciné rencontre LE CINEMA IRANIEN En présence de Asal  BAGUERI

professeur à la Sorbonne, spécialiste du cinéma iranien

Synopsis :

 

À Téhéran, dans un climat tendu pendant les élections parlementaires de 1998, une mère, Tuba, travaille durement à l’usine pour faire vivre sa famille. Abbas, l’aîné des fils, qui rêve d’ascension sociale et d’une vie meilleure pour sa famille, tente, avec la complicité de son père, d’obtenir un visa pour aller travailler à l’étranger. Le jeune homme, sensible et généreux, est prêt à tout pour offrir de meilleurs lendemains aux siens. Mais pour gagner beaucoup d’argent et vite, c’est ceux qu’il aime qu’Abbas va mettre en péril...


Une plongée dans le quotidien d’une famille modeste de Téhéran. La ville est au centre du récit, une cité moderne, fébrile, étonnante (...) un petit monde sensible et attachant palpite, plaisante et souffre, loin de toute pesanteur démonstrative, de tout exotisme. La réalisatrice, qui a frôlé la censure, ose s’attaquer à tous les carcans.

Cécile Mury, Télérama


Raskhshan Bani-Etemad dresse un portrait frontal de la réalité iranienne. Malgré les embûches et les coups durs du destin, une plongée pleine de vie et d’espoir dans le quotidien de Téhéran.

Olivier Pélisson, Zurban


SOUS LA PEAU DE LA VILLE


Film iranien

 

de Rakhshan BANI-ETEMAD 
(2000-couleur -1h.32 VOST 

sortie en France : 25 mai 2005)
Inédit à Troyes

Ciné rencontre LE CINEMA IRANIEN En présence de Asal  BAGUERI

professeur à la Sorbonne, spécialiste du cinéma iranien

Synopsis :

 

 Un mystérieux serial killer s’attaque aux cinéastes les plus adulés de Téhéran. Hasan Kasmai, un réalisateur iranien, est étrangement épargné. Censuré depuis des mois, lâché par son actrice fétiche, il est aussi la cible des réseaux sociaux. Vexé, au bord de la crise de nerfs, il veut comprendre à tout prix pourquoi le tueur ne s’en prend pas à lui… et cherche, par tous les moyens, à attirer son attention.


Une comédie gargantuesque et démesurée aux allures de thriller, qui n’en est pas moins une satire féroce de la censure dans le cinéma iranien.

Clarisse Fabre, Le Monde


Traité sur le mode de la farce, ce scénario donne un film moins sulfureux que prévu : le débat sur les libertés dans le cinéma iranien n’est que prétexte à l’intrigue criminelle. Heureusement, il y a l’incroyable abattage de l’acteur principal, d’un surréalisme réjouissant.

Frédéric Strauss, Télérama


PIG


Film comédie


 de Mani HAGHIGHI


5 décembre 2018, 1 h 47


V.O.S.T., inédit à Troyes

Ciné rencontre LE CINEMA IRANIEN En présence de Asal  BAGUERI

professeur à la Sorbonne, spécialiste du cinéma iranien

Synopsis :

 

Mina, une petite écolière, attend comme tous les jours sa mère à la sortie de l’école. Mais cette fois, celle-ci tarde à venir… Mina décide alors de rentrer chez elle par ses propres moyens. Mais elle ne connaît pas son adresse! Durant son périple, dans la ville bouillonnante, elle va croiser de nombreux adultes auxquels elle tiendra tête… Têtue et obstinée, mais aussi imprévisible, Mina fera tout pour retrouver le chemin de la maison…


Jafar Panahi scrute la société iranienne à travers le regard d’une enfant. Une façon plus douce de parler de la place des femmes, des inégalités, de l’insoumission.

Florence Raillard, TéléCinéObs


Dans une approche quasi expérimentale, Jafar Panahi touche à la réalité de la société iranienne. Alors que le régime des mollahs venait de confirmer la condamnation du cinéaste, la sortie du Miroir est un acte militant.

Michel Berjon, Les Fiches du Cinéma


Parti sur des bases déjà extraordinaires, Le Miroir se tord et se brise tout à coup, vole en morceaux, se recompose et se poursuit en nous coupant toujours plus le souffle. Arnaud Hée, Critikat.com



LE MIROIR 


 de Jofar PANAHI


Réalisation 1997, sortie 21 décembre 2011,


1h 34, V.O.S.T., inédit à Troyes

Ciné rencontre LE CINEMA IRANIEN En présence de Asal  BAGUERI

professeur à la Sorbonne, spécialiste du cinéma iranien

Synopsis :


 RUMBLE explore un chapitre profond, essentiel et jusqu’à présent méconnu de l’histoire de la musique américaine : son influence autochtone. À travers le portrait d’icônes de la musique telles que Charley Patton, Mildred Bailey, Link Wray, Buffy Sainte-Marie, Jimi Hendrix, Jesse Ed Davis, Robbie Robertson, Redbone, Randy Castillo ou encore Taboo, RUMBLE montre à quel point ces talentueux musiciens autochtones ont contribué à façonner les bandes-originales de nos vies.


Réalisé par Catherine Bainbridge et co-réalisé par Alfonso Maiorana, ce documentaire exceptionnel retrace l’histoire de ces Indiens, natifs d’Amérique, qui ont donné ses lettres de noblesse à la musique populaire – rock et blues en tête.

Rolling Stone, la rédaction


Rumble nous fait découvrir des airs et des rythmes patrimoniaux des Premières Nations du sud-est des États-Unis ; on en reconnaît illico les inflexions typiques du blues et du rock. Renversant ! Quiconque regarde ce film ne pourra jamais plus écouter le blues, le jazz et le rock sans en saisir les composantes autochtones.

lapresse.ca


Alternant recherches d’ethnomusicologie et images d’archives, ce documentaire palpitant prouve qu’à chaque moment clé de l’histoire de la musique, il y a un Amérindien impliqué mais souvent occulté. Il était temps d’ôter la sourdine.

Télérama, Sébastien Mauge


Un film puissant et profond, qui va chercher aux racines de la civilisation amérindienne et met en lumière l’influence que cette culture a eue, et continue d’avoir, sur la musique depuis des décennies, alors qu’elle en a été empêchée de mille façons et notamment par la violence.

Despretz A., critique internaute, mars 2019

Fête de la musique

RUMBLE : THE INDIAN WHO ROCKED THE WORLD

Un retour aux sources méconnues du rock and roll


de Catherine BRAINBRIDGE et Alfonso MAIORANA


2018, 1 h 43, documentaire canadien, V.O.S.T., inédit à Troyes

Ciné rencontre LE CINEMA IRANIEN En présence de Asal  BAGUERI professeur à la Sorbonne, spécialiste du cinéma iranien

Du vendredi 29 mai 2020 au samedi 30 mai 2020