Vengo_Synopsis
Vengo_Propos du réalisateur

Voilà un film aux couleurs de sable et de sang qui vous laisse des pépites d’or plein les yeux. Et des frémissements plein le cœur. Un film bouleversant et magnifique qui réussit à rendre, par écran interposé, l’essence même de cette musique qui est aussi une danse, à moins que ce soit l’inverse. Un film dont la puissance et l’originalité, la rigueur et l’émotion vous feront mordre la poussière.

Studio Magazine (Michel Rebichon)

Ce n’est d’ailleurs pas tant le scénario linéaire (le petit défaut des films de Gatlif) qui interpelle que l’énergie bouillonnante insufflée par les personnages, incarnés sans fausses notes par des non-professionnels, et la musique live.

Première (Christophe Narbonne)


Dans Vengo, Tony Gatlif, gitan d'origine et compositeur de plusieurs de ses musiques de films, n'utilise pas le flamenco, il se coule à l'intérieur pour faire sentir le battement de son sang, le tourment de sa douleur et la pureté rageuse de son lyrisme en sueur.

L’Express (Eric Libiot)

                                                        EXTRAITS CRITIQUES


Vengo n’est pas un film sur le flamenco, c’est un film viscéralement flamenco : ça bouillonne flamenco, ça hurle flamenco, ça aime flamenco, ça claque flamenco… Vengo n’est pas un film sur le sud, c’est un film méditerranéen dans l’âme et le corps, qui appartient à cette terre où le sang s’échauffe pour un oui, pour un non, où l’honneur trouve ses racines, dans ce « Sud-Sud » entre orient et occident. Vengo, c’est l’Andalousie et son soleil de plomb, ses murs blanchis à la chaux, ses femmes tout de noir vêtues, ses nuits interminables et le son des guitares comme un deuxième langage.

Et puis il y a les hommes, ténébreux et fiers, attachés aux valeurs ancestrales, des hommes qui vivent pour deux trésors : la famille et le flamenco. Ils carburent à l’instinct, et la musique, toujours, est là pour les accompagner.

Corinne Savy (ethno musicienne)

Tony Gatlif est heureusement incorrigible. Même lorsqu’il signe un film "sédentaire", le réalisateur des Princes fait tonner la complainte viscérale et déchirante de l'éternel déraciné.

Télérama (Louis Guichard)


Cette brutalité, cette simplicité qui semble par instants confiner à l’imbécillité, sont en fait une grande générosité faite à ceux et celles qui viendront voir le film.

Le Monde (Thomas Sotine)


Il n’y a probablement pas meilleur cinéaste français qui sache aussi bien filmer la danse, la musique et le chant que Tony Gatlif.

Les Cahiers du Cinéma (Jérôme Larcher)


Comme l’éblouissement magnifique et rugueux des chanteurs […], l’histoire de Vengo [.] semble être une chanson que vous avez peut-être déjà entendue, mais dont la douloureuse beauté nous porte à l'entendre sans fin

D’après The Washington Post


C’est l’âme du flamenco que [Tony Gatlif] est allé chercher au cœur de l’Andalousie et qu’il nous livre dans toute sa violence et sa beauté...

Le Figaroscope

SYNOPSIS

PROPOS DU REALISATEUR